Bilan des animes de l’été 2015

La saison anime de l’été 2015 vient tout juste de se terminer et je vous propose un petit bilan des animes que j’ai suivi. Bien entendu ça reste purement subjectif et vous avez le droit de ne pas être d’accord avec moi, sauf à propos de Non Non Biyori ! Cet été fut globalement une bonne saison avec plusieurs animes qui sortent du lot même s’ils ne marqueront pas les esprits plus que ça ou pas très longtemps.

Non Non Biyori Repeat : Un Slice of Life de qualité !

Que ceux qui ne connaissent pas Non Non Biyori arrêtent de lire cet article et aillent directement faire un tour sur Crunchyroll pour regarder cet anime qui est pour moi l’une des perles de cette saison été 2015, ouais rien que ça. En temps normal, je déteste la plupart des animes tranche de vie mais Non Non Biyori est l’exception à la règle. A la base, un SoL (slice of life) est un anime sans réel histoire et c’est le cas pour Non Non Biyori mais ça n’empêche qu’il n’en reste pas moins un petit bijoux. Loin de Tokyo et de toute grande ville, nous retrouvons dans cette seconde saison de Non Non Biyori notre petit groupe de choupinettes vivant de nombreuses aventures d’enfants habitant la campagne.

Pour être précis, cette seconde saison n’en n’est pas vraiment une et il était facile de le deviner vu son titre « Non Non Biyori Repeat« , elle revisite plutôt la première saison sous un angle différent et réussit à être aussi bien, si ce n’est mieux ! C’était mon rendez vous du Lundi soir après le boulot. L’anime exploite avec brio la carte du « MOE », proposant un divertissement des plus agréable et reposant, allant jusqu’à procurer un certain sentiment de quiétude et de bonheur, rien que ça ! Je vous recommande chaudement de zieuter Non Non Biyori qui a été acquis par Crunchyroll qui propose actuellement la totalité de la seconde saison ainsi que la première qui arrive petit à petit à un rythme régulier.


MONSTER MUSUME : Ou la censure intelligente d’un ecchi !

Réaliser un anime ecchi voir lubrique sans pour autant devoir censurer à la truelle chaque passage un peu chaud semble un peu utopique et pourtant c’est quasiment ce que propose Monster Musume ! Les scènes dites « hot » sont tournées d’une telle manière qu’il n’y a pas lieu de censurer ou peu car oui, il y a quand même quelques passages assez tendus. L’histoire ne brille pas par son originalité mais a le mérite d’être coquine à souhait, intéressante et marrante par moment ! Le Gouvernement Japonais ayant gardé le secret par le passé annonce qu’il existe des créatures mythiques et qu’elles vont essayer de s’intégrer dans la société japonaise à l’aide de familles d’accueil. Bien entendu, il y a de nouvelles lois qui sont décidés comme celle interdisant au départ toute relation sexuelle entre humain et créature ou celle interdisant toute violence envers les deux parties. Kimihito Kurusuun est un type au grand coeur qui malgré lui va accueillir tout au long des épisodes tout une floppée de créatures mythiques sous forme de femmes hybrides : mi femme mi animal qui bien entendu vont toutes tombées amoureuses de lui !

Chaque fille possède une histoire, un caractère et un aspect physique qui les rends chacune unique en leur genre ! Monster Musume nous montre la vie de tous les jours entre Kimihito Kurusuun et « ses pensionnaires ». J’irais presque jusqu’à dire que Monster Musume est une ode à la zoophilie, certains trouveront ça dégueulasse et ils n’auraient pas tord en surface parce que faire un ecchi avec des femmes à moitié humaine/animal, c’est un peu beaucoup proche de la frontière séparant le bon du mauvais goût mais dans le fond ce sont aussi des êtres humains avec un petit coeur comme nous et de surcroît des femmes alors pas besoin de faire appel aux associations de défenses des animaux ok ?!


Ore Monogatari : Un Shojo en or !

Takeo est un lycéen pas comme les autres, il ressemble plus à un gorille qu’à un lycéen et n’est pas franchement une lumière. C’est un garçon au grand coeur qui n’a jamais eu de succès auprès des filles qui en ont peur vu son gabari et inversement c’est l’idole des garçons tellement c’est un chic type dissimulant une grande sensibilité. Son ami d’enfance, Suna est un beau gosse qui au contraire a beaucoup de succès sauf qu’il les refoule toutes. Un jour lorsqu’ils prennent le métro, Takeo sauve une jeune lycéenne d’un pervers et devinez quoi ? Rinko Yamato de son petit nom va tomber amoureuse de son sauveur et pas seulement parce qu’il l’a sauvé mais parce qu’elle le trouve trop cool et trop fort ! Un peu comme Non Non Biyori et son genre tranche de vie, je ne suis à la base pas fan du tout des shojo et pourtant Ore Monogatari me comble de plaisir alors qu’en plus il est niais au possible, tout ce que je déteste dans un shojo, mention spéciale à la voix de Rinko qui est horrible pour certains, renforçant encore un peu plus ce côté ultra niais que j’adore paradoxalement.

Chaque épisode nous montre la vie d’un joli couple adolescent mais pas que car Mon Histoire aborde pas mal de thèmes comme l’anxiété et la gène, le premier baiser ou l’amour à sens unique via une galerie de personnages secondaires bien sympathique. D’autres thèmes comme la déception amoureuse sont également abordés et si vous voulez découvrir les autres thèmes, il vous faudra regarder Ore Monogatari qui reste selon moi un des must have de cette saison. Par contre, j’ai voulu me procurer le manga qui est le support de base mais mes yeux ont saignés. Autant je trouve le style shojo horrible, moche et vide mais Ore Monogatari cumule tout ça plus l’aspect brouillon ! Cela reste bien entendu mon avis personnelle que vous êtes libres de ne pas partager mais je trouve que le staff de l’anime a fait un excellent boulot qui embellit le manga !


Himôto! Umaru-chan : Drôle et rafraîchissant

Sous ses airs de petite soeur parfaite, de lycéenne modèle, Umaru est en réalité une espèce de « peste feignante » ne souhaitant que s’amuser tout en mangeant des cochonneries ! Le personnage le plus à plaindre de l’anime reste son grand frère qui subit ses caprices mais aussi parfois ses bons côtés qui sont beaucoup moins présent quand ils sont en privé. Umaru use et abuse de toutes les combines possibles pour parvenir à ses fins et cette adaptation anime est vraiment très drôle et cela dès l’opening qui est tout simplement génial et fait référence à pas mal de références « geek ».

Le blogueur critique qui sommeille en moi (lol) souhaite évoquer le fait qu’Umaru en public cherche à avoir une image d’elle même parfaite alors qu’en privé elle peut se relâcher et être elle même. Doit on ne pas être soi même en public et faire bonne impression en cachant au plus profond de soi même sa véritable nature, est ce une obligation de notre société actuelle pour être accepté et non pas catalogué comme « déviant » ? C’est autant de questions que Himôto! Umaru-chan survole sans jamais apporter de réponse ou en tout cas dans l’anime. Cependant, il n’en reste pas moins un excellent divertissement qui pour moi fait parti des perles de cette saison été 2015 et c’est à voir sur Crunchyroll !


Overlord : l’anime bien sympa qui sert de promo au Light Novel…

En regardant le synopsis de Overlord, je m’attendais à un anime surfant sur la vague de popularité de Sword Art Online mais je suis forcé de constater que ce n’est pas le cas. Le héros principal se retrouve emprisonné dans un monde virtuel alors que les serveurs devaient tout simplement s’arrêter et à partir de là, le héros va tout faire pour continuer de vivre dans ce monde virtuel qui devient peut être malgré lui sa nouvelle et véritable vie ! Les personnages non joueurs (pnj) deviennent subitement animés et douée de conscience, devenant presque humains, Momonga de son petit nom ressent les mêmes sensations que dans la vraie vie et va tenter de d’explorer et découvrir ce nouveau monde dans l’espoir de trouver d’autres joueurs qui comme lui seraient encore dans ce monde. Ancien chef de guilde, Momonga est l’une des personnes si ce n’est la plus puissante de ce monde et ses aventures vont lui apprendre bien des choses sur ce monde. Accompagné des pnj qui lui sont fidèles, il va tenter de faire connaître son nom le plus possible. Pour moi Overlord est également une des séries que j’ai préféré cette saison et cela pour plusieurs raisons, déjà j’adore les univers mmorpg même si ici il sert juste dans le synopsis et premier épisode pour instaurer le décor car par la suite il n’a plus aucune utilité.

Puis il y a l’épique et à ce niveau Overlord n’est pas en reste, que ce soit lors des démonstrations de puissance de Momonga et ses serviteurs lors de combats ou encore ce passage dans les premiers épisodes ou il invoque une espèce de squelette ultrapuissant qui va juste découper, hacher, occir ses ennemis avec une telle facilité ou encore lorsqu’il utilise ses pouvoirs pour écraser le coeur d’un ennemi à distant, bref l’épique et Overlord ça ne fait qu’un ! Parler d’Overlord sans mentionner Albedo serait un crime, c’est la première lieutenant de Momonga qui lui voue un amour infini qui n’est pas naturel vu que c’est Momonga lui même qui a modifié sa personnalité. Le personnage d’Albedo fait sourire lorsqu’elle essaye d’obtenir l’amour de son bien aimé mais c’est aussi contrasté lorsqu’elle revêt son armure et qu’elle part sur le champ de bataille, on voit qu’elle n’est pas seulement le personnage féminin éperdument amoureuse du héros mais aussi une guerrière sans coeur considérant les humains comme des êtres insignifiants ne méritant ni plus ni moins que la mort. Tout ça pour dire qu’Overlord propose plusieurs personnages très sympas (dont une vampire gothique lolita), que l’histoire est prenante et le côté épique surpuissant génial ! Malheureusement les deux derniers épisodes sont plutôt moyens vu qu’il y a un combat qui s’étire en longueur même s’il reste plutôt sympathique, bien dommage car le début était quand même énorme ! Une suite serait fort appréciable mais bon, j’ai bien peur que l’anime n’ait servi que de promotion au Light Novel….


Gakkou Gurashi! : Roi de la Psychologie cette saison, rien que ça.

Dans la famille anime pyschologique, j’appelle Gakkou Gurashi qui ne fut ni plus ni moins qu’une claque en pleine gueule ! Le synopsis laissait paraître un anime très gentillet avec des petites filles faisant parties d’un club de l’école, ce qui n’est pas faux en soit mais carrément incomplet au vu de l’histoire. Le premier épisode paraît presque trop gentil, banal et un peu chiant et il faut attendre la fin de ce premier épisode pour qu’enfin la machine se mettre en route prenant le spectateur par surprise total ! Gakkou Gurashi ne brille pas par son histoire « classique » mais plutôt par son côté psychologique très prenant. Parler de Gakkou Gurashi sans spoil est assez difficile tellement le synopsis n’a quasiment rien à voir avec ce qu’il se passe véritablement et c’est justement sur cela que repose le concept de Gakkou Gurashi. Le studio Lerche aux commandes de cet anime réalise une très belle performance forçant l’admiration en montrant de façon détourné une action ou en laissant des indices dans chaque épisode laissant supposer des choses sans jamais les confirmer jusqu’au moment ou la vérité éclate et encore une fois c’est une petite claque si vous n’avez pas été plus attentif que ça ! On me chuchote dans l’oreille que l’anime ne suit pas le même cheminement que le manga mais qu’il n’en reste pas moins jouissif !


Gatchaman Crowds Insight : Fin décevante…

Seconde saison de Gatchaman, on reprend les mêmes personnages et c’est reparti pour un tour ! Je me demandais comment une seconde saison était possible au vue de la fin de cette première et l’ajout de nouveaux personnages dont une nouvelle dans l’équipe Gatchaman et un alien rendent cette seconde saison tout simplement exquise ! L’accent est mis sur le côté social une fois de plus mais dépasse mes espérances qui étaient pourtant hautes ! J’aime beaucoup quand un anime nous fait un peu réfléchir et c’est exactement le cas de Gatchaman sans pour autant aller jusqu’au « mindfuck total ». La société doit elle regrouper tout le monde sous une même bannière, ne faire qu’un tant au mode de pensée que celui de vivre ? Doit on abandonner notre pensée personnelle pour une pensée collective ? La liberté ne serait elle pas un frein au bonheur dans notre société ? Le bonheur est il accessible ? Le bonheur absolu existe t’il ? C’est autant de questions et bien plus encore que Gatchaman tente de traiter grâce à l’ajout très intelligent de personnages à la fois proche et totalement différents ! Gatchaman permet également de réaliser que les personnes âgés sont une source de savoir et de sagesse comparé à la jeunesse impétueuse qui prend des décisions prématurées.

Il ne faut pas oublier que Gatchaman, c’est aussi une bande son entraînante et rythmée, une tonne de couleurs « flashy » et la sublime Hajime qui comme toujours sera une sorte d’avant-gardiste en son genre et son mode de penser. Mais la ou excelle cette seconde saison pour moi, c’est dans son rythme que je trouve parfait ! L’histoire avance à chaque épisode et l’attente entre les épisodes tient du domaine de l’insoutenable tant j’adore et je ne parle même pas des épisodes qui ne semblent durer que 5 minutes tellement l’immersion est forte mais ça ce n’est peut être que moi car Gatchaman Crowds m’a conquis depuis sa première saison. Après avoir vu le final, je ne peux que nuancer mon avis, j’ai adoré les 11 premiers épisodes mais d’une force ! Par contre le dernier est tout simplement pas terrible, tout ce que les 11 premiers épisodes ont mis en place est détruit par un final qui est bâclé, il y avait pourtant tant de possibilités et ma hype était réelle. On sent la saison 3 qui malheureusement sera pour moi de trop surtout après un tel final. Une douche froide mais qui vaut quand même le coup d’être vu !


Rokka no Yûsha : Bonne surprise de cette saison !

Rokka no Yusha semble avoir déçu pas mal de monde alors qu’il fait exactement ce que dit le synopsis et de surcroît il le fait bien ! Certaines personnes s’attendaient à ce que les héros aillent tuer le dieu du mal alors que ce n’est pas le but premier de l’anime ! Adlet se targue d’être l’homme le plus fort du monde et finit dans les geôles d’une prison après avoir interrompu un duel. Sauf que le dieu du mal se réveille et qu’Adlet se retrouve sélectionné comme héros des six fleurs dont la mission est de vaincre le Dieu du Mal. Les premiers épisodes sont un peu lents non pas par l’action qui s’y déroule mais par le fait qu’on arrive dans l’histoire du synopsis presque 6 épisodes après le début de l’anime ! Les 6 héros se retrouvent enfin au temple permettant d’activer une barrière bloquant le chemin vers le dieu du mal aux monstres voulant l’aider à se réveiller. C’est à ce moment là que Rokka no Yusha prend un tournant peu commun en devenant une sorte d’enquête puisqu’au lieu d’être 6 héros, ils sont 7 à porter le fameux sceau !

Rokka no Yusha prend tout son sens quand le synopsis démarre et que ce soit les dénouements, les combats ou les personnages, tout est bien foutu ! Le personnage de Flamie qui est une des 6 héros est tout simplement génial, que ce soit dans son look à base de Chapeau avec fleur colorée lui cachant un oeil, son bandeau autour de la poitrine et ses autres habits ou encore à cause de son histoire ou de sa personnalité solitaire. C’est vraiment l’un des personnages qui m’a le plus marqué dans cet anime. Par contre la fin de cette saison laisse normalement présagé une seconde saison parce qu’ils sont malins à en remettre une couche à la toute fin alors qu’ils ont démasqués le 7ème un peu plus tôt ! D’un côté, l’anime remplit parfaitement son rôle mais je serais tristesse de ne pas avoir de suite à l’avenir vu les possibilités de la fin et pourquoi pas d’aller faire sa fête au dieu du mal en bonus !


Ushio and Tora : Du old school qui déchire !

Ushio and Tora, c’est juste l’adaptation d’un bon gros shonen des années 90 qui tabasse tout ! Ushio et son père vivent paisiblement jusqu’au jou ou Ushio trouve une salle secrète sous la remise ou est retenu une sorte de Youkai, monstre de la mythologie japonaise si je ne dis pas de bêtise. Ce Monstre du nom de Tora est retenu emprisonné à cause d’une lance qui semble avoir été crée pour tuer les monstres et Ushio va libérer ce monstre et dompter la lance. C’est très plaisant de voir Ushio changer quand il possède la lance, devenant un guerrier extrêmement habile et puissant. Le old school a parfois du bon et Ushio and Tora nous prouve que ce schéma n’est pas encore voué à disparaitre, que ce soit les histoires centrés autour d’un monstre ou évènement, la quête d’une personne qui est ici sa mère dont il ne sait pas pourquoi elle est partie ou encore le fait qu’il protège ses ami(e)s à l’aide de Tora qui dans le fond n’est pas un mauvais bougre même s’il reste un monstre puissant.

L’alchimie entre Ushio et Tora fait mouche instantanément et on passe de scènes drôlissimes entre les deux à coup de : » je vais te bouffer ou je vais t’exploser » à « je ne te laisserai pas te faire bouffer par quelqu’un d’autre que moi ! ». Sans être manichéen, Ushio and Tora reste un shonen qui déchire tant dans les combats ou dans l’intrigue principale qui a enfin commencé tout doucement il y a à peine quelques épisodes. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’Ushio and Tora c’est 26 épisodes et à la fin de cette saison été 2015, nous ne sommes qu’à la moitié mais nul doute que la suite continuera d’être aussi bien ! Bien sûr, il ne faut pas oublier que l’anime est l’adaptation d’un manga des années 90 mais ça ne m’empêchera pas de dire que c’est du tout bon !


Prison School : kjfekfopsk

Prison School est un cas un peu particulier vu que je suis le manga papier depuis le début de sa parution aux éditions Soleil et malheureusement l’anime dépasse la parution française donc je n’ai eu d’autre choix que de mettre en pause l’anime car je préfère découvrir la suite de l’histoire via le manga. Il n’empêche que Prison School déchire tout, un ecchi qui se joue des codes en abusant des clichés jusqu’à l’excès total tout en procurant une tonne de fous rires et mots de ventres. Des garçons qui débarquent dans un ancien lycée réservé aux filles devenu mixte vous donne déjà un bon aperçu de ce pourrait être une comédie banale sauf qu’ici, nous sommes en présence de personnages totalement hors normes que ce soit dans leurs réactions ou pensées. Après avoir voulu matter les filles en train de prendre leur bain, les garçons sont envoyés dans une sorte de prison au sein de l’école pour purger leur peine sauf que tout ne va pas se passer comme prévu pour le plus grand bonheur de ceux qui suivent Prison School.

Je ne m’étendrais pas sur PS car il y a beaucoup à dire tant sur les personnages comme la présidente dégouté par la gente masculine, ses corbeaux et leur représentation, l’utilisation de subterfuges pour au final surprendre le spectateur, les intrigues à mourir de rire ou encore l’inventivité des hommes pour accéder au Saint Graal, le fait que tous les garçons aient une chose en commum : le fait de ne jamais avoir côtoyé la gente féminine que ce soit de près ou de loin en 3d et j’en passe. Si après tout ça vous n’êtes toujours pas motivé à regarder Prison School, je ne peux plus rien pour vous. Par contre le gros point faible de cette adaptation anime pour moi reste cette putain de censure qui en plus ne sert pas à grand chose la moitié du temps, censurer un short ou juste une vue alors qu’il n’y a rien de suspect, c’est juste gerbant surtout quand cette censure est quand même assez présente, rabattez vous sur le manga si vous voulez réellement découvrir Prison School même si c’est un coût non négligeable comparé à l’anime.


Sore ga Seiyuu! : Le monde des Seiyu !

Vous vous souvenez de Shirobako nous expliquant le monde de l’animation japonaise ? Et bien ici ce n’est pas tout à fait pareil mais nous allons pouvoir en apprendre sur le domaine du doublage japonais en suivant 3 jeunes seiyu cherchant à se faire une place dans ce monde impitoyable ! Malheureusement cet anime n’est pas licencié par chez nous, ce qui m’a obligé à le suivre comme certains autres chez Funimation aux US. Sore ga Seiyuu mixe le suivi de la vie des 3 jeunes seiyu différentes mais au même but et la découverte du monde du doublage qui ne se résume pas aux animes mais tourne aussi autour des jeux vidéos, de la chanson, des émissions de radio, de films étrangers, des cd drama et bien d’autres domaines.

Chaque épisode explore l’une des facettes comme par exemple l’échec, le manque de confiance en soi ou bien un domaine du doublage tout en l’expliquant de façon très clair sans interrompre l’histoire des personnages qui avance petit à petit pour peut être débouché sur une réussite ou un échec. L’anime se permet même l’apparition de plusieurs véritables stars du seiyu comme Masako Nozawa, la célèbre doubleuse de Goku ! Sans oublier que nos 3 personnages principaux sont doublés par des « Seiyu débutantes », ce qui renforce le côté sympathique et réel de Sore ga Seiyuu qui est une petite perle de cette saison malheureusement non licencié chez nous…


Shimoneta : Ero-terrorisme

Pays connu pour ses nombreuses déviances et sa culture « différente », le Japon se réveille enfin et décide d’interdire tout ce qui est indécent, en gros tout ce qui touche au SEXE. Un peu comme notre société actuelle qui trouve un peu tout et n’importe quoi d’indécent alors qu’en même temps elle ne se gêne pas avec ses clips aux femmes dénudées et j’en passe car ce n’est pas le sujet ! Tanukichi Okuma est un élève tout ce qu’il y a de plus sérieux sauf que malgré lui, il va se retrouver enrôler dans une organisation terroriste qui n’a d’autre but que de défier les interdictions en place prônant une liberté du sexe et des obscénités !

Les gags sont gras, l’humour facile et pourtant la mayonnaise prend. L’anime réussit à être drôle tout en parlant de sexe sans pour autant tomber complètement dans le ecchi, le sale ou le hentai. J’aurais bien dit que c’est subtil mais ce n’est pas le cas, on va dire que les connotations sont bien trouvés et ne choquent pas. Les personnages sont marrants même si certains en font des caisses et si vous êtes à la recherche d’un bon divertissement qui en plus tourne en dérision le sexe dans notre société actuelle, alors Shimoneta est fait pour vous. Mention spécial à un épisode qui explique carrément comment fabriquer un onahole (masturbateur pour homme) ! Par contre, n’attendez pas de Shimoneta plus qu’un divertissement car il ne fait qu’effleurer certaines questions qui auraient pu rendre l’anime bien meilleur qu’il ne l’est actuellement !


Working!!! : Yamada addict.

Cette 3ème et dernier saison de Working dépasse enfin le manga d’après certains (je ne l’ai pas lu car le scan c’est pas bien, pas beau §) et apporte tout un tas de conclusions tant attendues par les nombreux fans ! Working est encore un anime de type tranche de vie dont j’ai eu un peu de mal à accrocher au départ vu que tout se passe quasi exclusivement sur le lieu de travail des différents personnages, soit dans un restaurant. Après, le panel de personnages est varié et intéressant, l’histoire qui n’est en fait que l’évolution des relations entre les personnages arrive enfin à un dénouement. C’est drôle et plutôt frais mais pas ce que j’ai préféré cette saison même si ça reste sympathique.


Gangsta : Alexou <3

Une ville de mafieux, des personnages singuliers sans foi ni loi prêt à en découdre, les parallèles à l’univers de Black Lagoon sont nombreux et parfois justifiés mais Gangsta se démarque de Black Lagoon grâce aux indexés, sortes d’humains qui ont subis des expériences les rendant plus forts que les humains normaux. Personnellement je ne m’attendais pas à un Black Lagoon bis ou du style car je ne pense pas que ce soit son ambition puis vouloir égaler Black Lagoon, c’est chaud quand même. Par contre Gangsta est bien noir à souhait, montrer une prostitué effectuant une passe ou se faire violenter fait partie intégrante de l’oeuvre par contre le côté nouvelle vie, nouveau départ et sensation de liberté, de revivre de Black Lagoon n’est pas présent. Seul Alexou la prostitué découvre les différents aspects de cette ville qui n’est pas faite pour les innocents alors que nos deux compères y sont habitués. J’ai beaucoup aimé Gangsta mais certains épisodes m’ont quand même parus long ou un peu indigeste mais dans l’ensemble Gansta reste une adaptation sympathique, il faudrait d’ailleurs que je lise le manga ! Le final si on peut encore l’appeler comme ça est tout simplement une coupure en plein milieu de l’histoire, on ne m’aurait pas dit que l’anime se terminait à ce moment là que je serais encore à attendre une suite, putain. Update : C’est avec tristesse que j’ai appris la faillite du studio Manglobe, courage à ceux qui y travaillaient.


Aoharu x Machinegun: le divertissement sorti de nulle part !

Je n’étais pas rassuré en lisant le synopsis de Aoharu X Machinegun et heureusement il m’arrive parfois de me tromper car ce fut une bonne surprise ! Une fille au sens aigu de la justice va rejoindre malgré elle au départ une équipe de « survival game », sorte d’air soft qui pourrait sembler chiant à première vue. Tachibana va devoir cacher qu’elle est une fille car l’équipe n’accepte pas les filles et de ce côté elle n’a pas de soucis à se faire au début car c’est un véritable garçon manqué pouvant facilement être confondu avec un garçon. Comme toujours les premiers épisodes posent les bases puis les suivants sont censés nous faire entrer au coeur de l’histoire et c’est exactement ça avec Aoharu x Kikanjuu qui se révèle être non pas passionnant mais bien fichu quand même, grâce en partie au personne de Tachibana qui est une buse de base mais qui une fois son sens de la justice piqué devient une bête sauvage enragée capable de rivaliser avec les meilleurs. Le fait qu’elle cache le fait qu’elle soit une fille met un peu de piquant dans l’histoire et permet d’approfondir un peu plus l’intrigue. Bref, un divertissement qu’il est bien !


Jitsu wa Watashi wa

Jitsu wa Watashi wa est un peu la comédie fourre tout type qui s’en sort avec les honneurs ! Entre le personnage principal qui ne sait pas mentir alors qu’il va découvrir que la fille qu’il aime est un vampire va le forcer à garder le secret pour ne pas la perdre. Vu qu’il y a une vampire, les épisodes suivants réservent une galerie de personnages sympas allant de l’alien au loup garou au démon, le tout saupoudré d’humour et de triangle amoureux qui je le concède est bien amené et traité, pas comme dans la plupart des animes du même type ! Jitsu wa réussit à me captiver à chaque épisode sans jamais relâcher son emprise et même si ce n’est pas ce que je préfère, il reste un anime très agréable à regarder ! Jitsu aime reprendre les codes classiques et les adapter à sa sauce et il faut avouer que c’est plutôt cool, mention spéciale à l’ending que j’adore :3


Akagami no Shirayuki-hime : sympa mais pire qu’une berceuse !

Une fille aux cheveux rouges ne cesse de se faire pourchasser et maltraiter par tout ceux qui la convoitent en raison de la rareté des cheveux rouges mais Shirayuki est débrouillarde et ne se laisse pas abattre une seule seconde car c’est une battante. Petit à petit, son caractère se renforce et elle trouve sa place dans le royaume d’à côté auprès du prince Zen qui ne la voit pas comme tous les autres la voulant pour sa rareté mais plutôt comme une personne exceptionnelle qu’il apprécie beaucoup. Les aventures de Shirayuki sont agréables à suivre même si parfois je la considère comme « une connasse aux cheveux rouges qui n’arrête pas de se faire enlever, maltraiter ». La réalisation est top alors n’hésitez pas à vous faire votre propre avis sur Shirayuki !


Wakaba*Girl : Baka Girl !

Wakaba*Girl est une série courte qui tourne autour de Wakabe, une jeune fille de la noblesse se faisant des amies venant d’un milieu modeste et les épisodes sont plutôt rigolos. Le format court m’a rendu plus enclin à suivre l’anime qui n’est pas exceptionnel mais qui remplit bien son rôle d’anime court divertissant. Wakabe est un personnage marrant qui n’y connait rien à la vie des roturières et ses expressions sont parfois géniales mais c’est tout. Wakaba*Girl m’a permis de découvrir Ray, une chanteuse qui est pas mal du tout sur tous les plans mais le titre My Future m’a totalement conquis. Malheureusement il n’est pas trouvable sur youtube en entier donc à la place je vous met l’opening en version live, enfin un aperçu qu’il est sympa.


Classroom Crisis : lent au début mais très bien par la suite !

Classroom Crisis est le genre d’anime que j’abandonne après plusieurs épisodes moyens car ça ne décolle pas et pourtant cette fois je me suis laissé porté par les épisodes suivants que j’ai trouvé bons. Je ne la classe pas dans mes meilleurs animes de cette saison mais pas loin quand même ! Nous suivons un groupe de lycéens spéciaux, ils font partis d’une classe subventionné par une entreprise pour la création d’un réacteur de nouvelle génération sauf que l’arrivée d’un nouvel élève et directeur (le même personnage) va changer la donne et donner une ampleur supplémentaire et bienvenue à l’anime qui n’était jusque là que banal et sans grand intérêt.

L’entreprise cherche par tous les moyens à fermer cette classe qui leur revient beaucoup trop cher et ne rapporte absolument rien pour le moment mais les élèves vont tout faire pour se battre et garder la classe à flot et c’est à ce moment que le complot démarre et qu’au fur et à mesure nous en prenons conscience même si parfois certains détails sont assez durs à suivre comme l’énonciation de plusieurs partis politiques qui changent d’un coup alors que nous ne connaissons pas véritablement le fond, un traitement que j’aurais bien aimé voir plus approfondi et un peu mieux expliqué pour moi qui suis une buse. Je crois que c’est le charadesign et l’opening/ending qui m’ont motivés à suivre cet anime et j’en suis bien content !


Gate : une adaptation anime aseptisée ?

Gate était l’un des animes que j’attendais le plus et malheureusement ce ne fut pas la meilleure découverte de cette saison alors que le synopsis annonçait du lourd mais alors vraiment du lourd. Itami fait parti de l’armée et profite d’une permission pour aller à une convention de fanzine alors que subitement une immense porte apparaît en plein centre de Tokyo et des guerriers d’un autre temps ainsi que des dragons débarquent et commençent à répandre le chaos sauf que nous pouvons compter sur l’armée pour nous défendre en cas d’invasion et l’anime n’y va pas de main morte en glorifiant presque l’armée d’après certains alors que personnellement je trouvais ça plutôt normal. Une fois cette attaque repoussé, le lieutenant Itami ayant protégé la population est promu à la tête d’une expédition de l’autre côté de la porte afin d’en apprendre plus, de nouer des liens afin de renforcer la puissance Japonaise face au monde ainsi que faire du commerce par la suite.

Au départ, les peuples sont en guerre mais l’armée humaine possédant des chars, des fusils, des bombes et hélicoptères écrase totalement l’ennemi disposant de moyens moyenâgeux ! L’univers dispose d’une grande variété, surtout dans les personnages allant de l’elfe à la mage en passant par la Sainte guerrière en passe de devenir une divinité à part entière. Fait amusant, l’auteur de Gate est un ancien militaire, ce qui explique peut être ce côté « l’armée c’est la plus forte » mais malheureusement je suis un peu mitigé quant à l’anime. J’ai l’impression que le rythme est bizarre, je me suis même ennuyé en regardant certains épisodes alors que d’autres m’ont carrément donné envie de voir la suite, les personnages ne me semblent pas plus développé que ça ainsi que l’histoire qui traîne en longueur. Prévu en 24 épisodes, la suite ne verra pas le jour cet automne mais lors de l’hiver 2016, ce qui me donne encore un peu moins envie de suivre Gate malgré de bons côtés !


Danchigai : l’inceste c’est moyen.

Animé au format court se déroulant dans une famille composé d’un frère et plusieurs soeurs, quelques bons trucs marrants et sympa mais dans l’ensemble ça reste moyen, un divertissement sans réel plus qui vire un peu parfois au bord de l’inceste même si c’est léger. Wow, j’ai parlé trop vite. J’avais écrit tout ça avant de voir le dernier mais putain c’est BORDELESS niveau inceste quand même, ça en devient presque pitoyable alors qu’il y avait quand même quelques épisodes plutôt bien…


Denpa Kyoushi : élu pire animation 2015

Dois-je vraiment parler de Denpa Kyoushi qui est certainement l’un des animes de cette année que j’ai trouvé le plus moche ? Une sorte de GTO bas de gamme ou le loubard est remplacé par un otaku. Certaines histoires restent néanmoins vachement bien malgré d’autres carrément à la ramasse et inintéressantes ! Je me demande d’ailleurs si je ne suis pas le seul à avoir suivi Denpa Kyoushi vu que sur les réseaux sociaux, je n’ai pour ainsi dire jamais vu quelqu’un en parler sauf ceux qui lisent le manga et trouvent à juste titre l’anime moche. La descence m’empêche de poster une image, vos yeux ne feraient que pleurer du sang.


Joukamachi no Dandelion : que dire.

Le roi décide de laisser sa place à l’un de ses futurs enfants lors d’un vote de la population donc les enfants sont examinés et jugés dans leurs moindres faits et gestes. L’anime réussit à introduire des pouvoirs magiques à chaque héritier légitime sans que cela ne dénature l’anime. Rien que pour ça, l’anime mérite qu’on s’y intéresse et puis les enfants sont sympas !


Kuusen Madoushi Kouhosei no Kyoukan : Pas assez de seins §

Kussen Madoushi Kouhosei no Kyoukan de son petit nom pas long du tout n’est sûrement pas l’anime de l’année voir de toujours mais il a le mérite de m’avoir diverti alors que je n’en attendais absolument rien du tout. L’histoire est basique à souhait et pourtant le traitement reste cool. Le passé de certains personnages est abordé mais pas tous, format de 12 épisodes oblige.

L’instructeur que tout le monde insulte à longueur de journée de traître doit entraîner des recrues complètement à la ramasse mais personne n’a confiance en lui ou en ses recrues. L’univers hostile plein d’insectes ne sert pas énormément tout le long à parti à quelques reprises, ce qui est un peu dommage car c’est que le synopsis annonçait. Hormis ça, c’est une série divertissement de base mais que j’apprécie fortement ! Le plot est plus que prévisible et c’est loin d’être parfait mais ça reste pas si mauvais que ça !


Ninja Slayer : Pur délire !

Dans le genre troll velu, je ne pense pas qu’on verra mieux cette année et qui de mieux que le studio Gainax pour la réalisation ? Le moins qu’on puisse dire c’est que les épisodes n’ont pas du couter une fortune que ce soit en argent ou en temps pour la réalisation. J’ai beaucoup aimé suivre Ninja Slayer car son histoire donnait quand même vachement envie et l’animation suffisait à elle seule à me faire rire. Que demander de plus ? Il semblerait qu’une véritable série commencerait l’année prochaine mais je ne sais plus trop ou j’en ai entendu parlé et ça pourrait être pas mal si l’histoire y ressemble car il y a de quoi faire !


Shokugeki no Souma : la mayonnaise ne prend pas.

De la bouffe qui fait jouir homme comme femme en une seule bouchée et qui abuse au possible de ce côté fanservice ou les personnages sont au bord de l’effondrement, c’est cool quelques épisodes mais vu que le schéma reste relativement le même, je me suis lassé assez vite de Shokugeki no Souma malgré certains épisodes centrés sur différents personnages et leur passé plutôt intéressant, un shonen classique de combats de bouffe en somme qui ravira sûrement plus d’une personne. Je dois être sur le point de devenir un connard élitiste, à la limite de l’hipster. Parfois, il y a des putains de dialogues centrés sur la bouffe qui durent trop longtemps à mon goût et qui n’apportent pas forcément de plus valu.

Le bon côté, c’est que le manga propose les recettes de l’histoire et certaines personnes dont le gérant de la librairie manga que je côtoie parfois s’amusent à reproduire les plats et il faut avouer que ça donne envie de goûter ! Par contre, à moins d’avoir une seconde saison, ce dont je ne doute pas vu l’engouement, bah la fin n’en n’est pas une et ça s’arrête en plein milieu de l’histoire et je trouve ça pas terrible d’arrêter là comme ça SAUF si une saison 2 est dans les cartons of course. Après ça reste classique dans son développement de shonen mais les recettes sont bien trouvé et comme dit plus haut, réalisables !


Miss Monochrome : L’unique idole que j’adule 

Miss Monochrome revenu dans une seconde saison tout aussi bien que la première soit un divertissement acceptable vu le format court. Par contre les chansons sont tops : opening et ending et en plus ça revient lors d’une troisième saison cet automne avec je l’espère un humour au même niveau, pas forcément top mais passable ! Puis voir une android vouloir devenir idole, c’est fun. D’ailleurs, on apprend ce que signifie les paroles de l’opening (pour ceux qui ne parlent ni comprennent le japonais comme moi) et c’est plutôt bien trouvé, bien joué les gars. Miss Monochrome est une valeur sûre moyenne, terme spéciale mais je trouve que ça lui correspond bien.


Wakako-zake : 0 intérêt

Une nana qui passe son temps à bouffer et boire après le taff dans divers restaurants, 0 intérêt pour ma part et heureusement que c’était court ! Bon en fait je l’ai quand même drop tellement je m’emmerdais, apparemment pas mal l’on trouvé pas mal, je cherche encore.


Ranpo Kitan : Chelou.

Je m’attendais à plus de la part de Ranpo Kitan dont j’ai aimé à peine quelques épisodes (2) sur l’ensemble, je n’ai jamais vu le temps passé aussi lentement, que ce soit à l’école ou au boulot !


Charlotte :

Eck, un blogueur qu’il est bien en parle dans un billet d’humeur qui résume en partie ce que j’en pense, pas besoin de m’attarder dessus car pour moi il ne le mérite pas. Mention toute spéciale au dernier épisode qui ne sert absolument à rien et qui aurait pu se résumer en 2 minutes chrono en main…


Bikini Warriors : Quand même le fanservice est nul…

Bikini Warriors est un anime au format court qui ne sert qu’à montrer des seins et des culs, du fanservice bien inutile sachant qu’il y a 0 intérêt, ah si en fait…. Prendre des screens rigolos à ressortir et c’est à peu prêt tout….


Chaos Dragon : Urobuchi démission §

S’il devait y avoir un pétard mouillé cette saison, ce serait bien Chaos Dragon qui remporterait la palme tellement le staff qui s’en occupait vendait du rêve. Je me souviens avoir demander après un épisode la démission de Gen Urobuchi que j’apprécie beaucoup en temps normal. Dans le genre anime ultra moyen et histoire qui ne décolle pas alors qu’il y a du potentiel, Chaos Dragon c’est le king du game. Tellement déçu par cette anime que je n’ai pas envie de tout développer mais le héros qui a le pouvoir du dragon permettant de tuer n’importe qui en l’échange de la vie de quelqu’un qui lui est précieux, c’est cool sur le papier mais dans l’anime non, limite useless.


Million Doll : J’ai réussi à drop alors que les épisodes font 3 minutes tout compris.

Suivre des connasses qui veulent devenir idoles, les voir monter un peu, pas mon délire mais c’était court et j’avais que ça à foutre, faut vraiment que je trouve autre chose à faire de mon temps moi sérieusement…


God Eater : réservé aux fans ?

Anime qui a eu énormement de mal lors de sa diffusion avec autant d’épisodes récap que d’épisodes normaux, pas grave vu que je l’ai drop après le second épisode tellement j’avais l’impression que cet anime était destiné uniquement aux fans de la licence.


Okusama ga Seitokaichô! : nul, nul, nul !

Dans le même genre que Bikini Warriors sauf qu’ici le ecchi est à limite du hentai parfois, l’histoire est carrément à chier et je sous pèse mes mots par décence, fuyez pauvres fous §


Posté le 6 octobre 2015 à 13:00 par freedommaner

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